Le point de vue de l’OMS sur l’humidité

L’humidité, c’est plus que les petites taches de moisissure dans la douche. Quand il y en a trop, elle imprègne les murs et les objets et favorise le développement à leur surface de micro-organismes qui se répandent dans l’air. L’exposition à cette pollution microbienne peut alors provoquer à plus ou moins long terme différents problèmes de santé. Cet article présente les recommandations toutes simples de l’organisation mondiale de la santé (OMS) pour améliorer la qualité de l’air intérieur.

Quand on sait que l’on passe, de nos jours, la plupart de notre temps enfermé à la maison ou au travail, on comprend aisément l’importance de la qualité de l’air intérieur. Pollué, celui-ci a un impact non négligeable sur notre santé. Comme toujours, ce sont les groupes les plus vulnérables qui sont touchés en premier : les personnes âgées des maisons de retraite et les enfants des crèches et maternelles.

Les polluants de l’air intérieur ont beau être très divers – pollen, spores de plantes, bactéries, champignons, algues, protozoaires, ils ont un point commun : ils prolifèrent lorsque le taux d’humidité augmente et provoquent différents problèmes de santé. Parmi les plus fréquents : troubles respiratoires, rhinites, allergies, asthme et réactions immunologiques.

L’humidité ici incriminée pose d’ailleurs un double problème car en plus de favoriser la prolifération des moisissures et bactéries, elle entraîne une altération des matériaux touchés. Cette altération chimique ou biologique se traduit par une nouvelle pollution de l’air ambiant via l’émission, entre autres, de spores, d’allergènes, de mycotoxines et de composés organiques volatils.

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Protégez vos murs et votre santé
La pollution de l’air intérieur : un poison insidieux

Il importe donc de veiller à la qualité de l’air intérieur pour ne pas devenir sujet aux maladies chroniques ou aux allergies et pour ne pas voir ses quatre murs se dégrader à vitesse grand v. Pour votre confort, gardez à l’esprit qu’aux alentours de 20 °C, l’humidité de l’air doit avoisiner les 50-60 %. L’OMS préconise des mesures simples pour lutter contre l’humidité :

• Assurez une bonne ventilation, l’air ne doit pas stagner. Pour chasser l’humidité, aérez régulièrement et plusieurs fois par jour, en particulier après la vaisselle, le ménage et la douche.
• Si l’aération ne suffit pas, vous pourrez éliminer condensation, moisissures et odeur de renfermé en installant une solution anti-humidité (déshumidificateur électrique par ex.).
• En cas de dégâts des eaux, de fuite ou d’infiltration, il est fortement conseillé de faire appel à un professionnel qui déterminera la cause du sinistre et éliminera complètement l’humidité avec le matériel approprié.
• Si vous faites construire, portez une attention particulière à l’enveloppe qui doit être bâtie de façon à empêcher les ponts thermiques et les infiltrations.

Dans tous les cas, évitez à tout prix les produits miracles qui ne servent qu’à cacher les dégâts. Si vous avez un mur humide, vous devrez absolument en déterminer la cause avant de commencer à le traiter ou à le sécher. En revanche, si l’air est « simplement humide » ou si vous avez subi une inondation, les déshumidificateurs Trotec vous permettront de capturer l’humidité rapidement et avec efficacité.

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Protégez vos murs et votre santé

Lorsque l’hygrométrie, c’est-à-dire l’humidité de l’air, est trop élevée, elle devient source de problèmes : odeur de moisi, taches sur les murs. Des signes qui ne trompent pas – la moisissure a investi les lieux.

Moins connus sont les symptômes induits par la présence de moisissure : difficultés respiratoires, nez bouché ou qui coule, maux de tête ou fatigue extrême. Si vous en souffrez, il est fort probable que vous réagissiez aux moisissures.

En effet, les spores des micro-champignons provoquent des réactions allergiques. Plus qu’un simple problème esthétique, tenace par ailleurs, les moisissures nuisent gravement à la santé. Sachez qu’un mur maculé de taches noires est un signe de prolifération avancée.

La première des priorités est de déterminer la cause des moisissures et de l’éliminer. Si vous avez l’intention de rénover, faites une sélection de matériaux en fonction : il est recommandé d’utiliser les revêtements muraux qui n’offrent pas de substances nutritives aux micro-organismes (peinture anti-humidité, etc.). Les enduits qui ont fait leurs preuves sont les revêtements alcalins à base de silicates.

Comme les moisissures se plaisent dans les endroits humides de la maison, il convient d’adopter le bon comportement dans ses quatre murs pour avoir un air sain. Aérez à intervalles réguliers dans la journée et surtout pendant les activités qui génèrent de l’humidité (cuisine, repassage, bain). Et pour l’humidité difficile à éviter, l’emploi d’un déshumidificateur est tout indiqué. TROTEC propose une gamme professionnelle pour la maison à partir de 90,41 €.

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Dormez pour tirer le maximum de vos neurones

En avez-vous déjà fait l’expérience ? Avez-vous revu vos cours au lit en vue d’un contrôle et saviez répondre le lendemain à toutes les questions ? Une étude réalisée conjointement par des chercheurs de l’université de York et de l’Harvard Medical School a confirmé que le sommeil jouait un rôle fondamental dans la consolidation des informations.*

Les résultats de cette étude ne font que confirmer l’importance du sommeil. Ceci dit, pour qu’il soit réparateur, le sommeil doit être favorisé. Les facteurs de qualité du sommeil sont au nombre de cinq :

  • Régularité : en vous couchant à une heure fixe, vous développerez une routine qui vous aidera naturellement à vous endormir encore plus détendu.
  • Abstinence : l’alcool a certes un effet soporifique mais altère la qualité du sommeil.
  • Équipement : il convient de bien choisir son matelas, ses oreillers et ses couettes. Misez sur la qualité des magasins spécialisés et laissez-vous conseiller.
  • Température : une chambre à coucher doit être bien tempérée – ne pas être froide pour éviter les moisissures mais pas non plus trop chauffée. La température idéale est comprise entre 16 °C et 18 °C.
  • Hygrométrie : pour être saine, l’humidité de l’air ambiant doit s’élever à 50-60 %.

Pour garantir une hygrométrie parfaite, on utilise en hiver un humidificateur qui redonne à l’atmosphère l’humidité perdue par le chauffage. Une mesure salvatrice pour les muqueuses, mais dure contre la poussière. Avec un humidificateur, fini ce fléau de l’hiver dû au chauffage : les humidificateurs de qualité sont en effet équipés d’un filtre à air intégré qui capture les poils d’animaux, les poussières et les pollens en suspension.

Fort de ces nouvelles infos, je suis sûre que vous allez vous reposer à merveille – et apprendre une foule de choses.

* Pour en savoir plus, lisez l’article paru au Journal of Neuroscience.

La pollution de l’air intérieur : un poison insidieux

Le point commun des bougies parfumées, vernis des portes, peintures murales, déodorants et sprays d’intérieur ? Les émissions de polluants. Au vu des chiffres sur l’augmentation des maladies respiratoires allergiques et des cancers liés à des facteurs environnementaux, mieux vaut prendre conscience de ces dangers insidieux pour pouvoir prendre les mesures nécessaires.

Métro-boulot-dodo. Nous passons le plus clair de notre temps dans des endroits confinés : maison, travail, école, transports, magasins. Dans ce cadre, la qualité de l’air que nous y respirons peut entraîner des gênes à court terme (irritations des yeux, des voies respiratoires et de la peau, fatigue, angoisse, migraine) et des pathologies à long terme (cancer, allergies), voire même se révéler mortel (après une intoxication au monoxyde de carbone par ex.).

Les polluants de l’air intérieur

Les polluants qui affectent la qualité de l’air intérieur proviennent de sources très diverses et peuvent être de nature biologique, particulaire, chimique ou physique. Les polluants de l’air intérieur sont catégorisés en quatre classes de priorité en fonction, notamment, de leur toxicité et leur fréquence d’apparition dans l’air et la poussière des bâtiments.

Les polluants biologiques

Les biocontaminants sont les plus connus car ce sont aussi les plus communs : ce sont les allergènes de chien et de chat, les acariens, les blattes, les endotoxines, les pollens, l’humidité et les moisissures. Les personnes qui y sont sensibles souffrent d’asthme et d’allergies.

Les polluants particulaires

Ce sont des polluants omniprésents mais que l’on sous-estime ou que l’on ignore. Les particules, ou aérosols, proviennent de l’air extérieur qui chargé de divers effluents, de la fumée de tabac mais aussi de la cuisine et du ménage. Ils peuvent entraîner des troubles respiratoires et cardio-pulmonaires.

Les polluants chimiques

Les composés chimiques, dont les composés organiques volatils, peuvent causer des troubles rénaux, respiratoires et neurologiques. Le formaldéhyde, le plus fréquent et le plus présent appartient aux produits cancérogènes avérés pour l’homme et est présent dans les panneaux en agglo, les peintures, les colles, les produits de nettoyage, les textiles (comme apprêt et conservateur), les livres et magazines neufs, la fumée de tabac, les photocopieurs, dans les bougies en combustion et bien d’autres.

Les polluants physiques

Les polluants physiques comprennent les champs électromagnétiques ainsi que l’irridiation naturelle du sol, de l’eau et des matériaux de construction en radon et rayonnements gamma. Ce type de pollution est très nocive et peut induire des cancers, des mutations génétiques, et des perturbations au niveau du système nerveux.

Une liste impressionnante qui, sans se vouloir alarmante, met le doigt sur les dangers réels que comporte notre environnement. La pollution de l’air intérieur nous concerne tous. Pour les personnes les plus sensibles (nourrissons, personnes âgées, au système immunitaire fragilisé ou souffrant d’une maladie pulmonaire), une solution s’impose.

augmenter la qualité de l'air intérieur avec un purificateur

Des gestes simples

  • Aérez, en particulier après les activités qui génèrent beaucoup d’humidité (bain, douche, cuisson) mais aussi après l’installation de nouveaux meubles et d’objets de décoration et lorsque vous bricolez.
  • Si vous avez des tâches de moisissure, lavez les surfaces touchées à l’eau de Javel. Si les surfaces moisies sont trop importantes ou si le problème subsiste sans que vous ayez pu en trouver la cause, faites appel à un professionnel.
  • Faites régulièrement vérifier vos appareils de combustion et votre VMC et faites faire le ramonage des conduits de fumée. Nettoyez régulièrement les brûleurs de votre gazinière : les flammes doivent être bleues et courtes et ne pas noircir les casseroles.
  • Utilisez les chauffages mobiles à gaz uniquement dans des endroits bien ventilés.

Aide technique

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Maintenir l’activité de l’entreprise au plus au niveau en contrecarrant les pandémies

Avec l’été qui finit, on rencontre les premiers nez qui coulent et les premières quintes de toux. À ces premiers cas de rhumes suivront prochainement ceux de grippe. Dans cet article, nous vous montrons comment les purificateurs d’air professionnels contribuent à la bonne santé en entreprise.

Chaque hiver, la France connaît une épidémie saisonnière de grippe qui peut toucher de 5 à 15 % de la population pendant 9 à 12 semaines en moyenne. Pour les entreprises de toutes tailles, les pandémies, et particulièrement celles de grippe, représentent un véritable problème car elles menacent de faire baisser la productivité.

Pour réduire le taux d’absentéisme à un minimum, il importe de bloquer la chaîne de transmission des virus, en adoptant certains gestes d’hygiène comme le nettoyage fréquent des rampes, poignées de porte et/ou ascenseurs, ainsi que le lavage des mains au savon liquide ou à l’aide d’une solution hydro-alcoolique.

Le virus de la grippe se transmettant cependant principalement par voie aérienne et notamment par le biais des gouttelettes respiratoires (postillons, éternuement, toux), il est recommandé d’aérer fréquemment les locaux ou d’installer un purificateur d’air utilisant un filtre HyperHEPA.

Les purificateurs d’air portatifs IQAir HealthPro 150, HealthPro 250 et Cleanroom 250 MG offrent une protection ultra-efficace grâce à leur filtre HyperHEPA qui leur permet d’éliminer bactéries et virus à travers une structure de nano-fibres.

Grippe A : mieux vaut prévenir que guérir

Purificateur d'air IQAir HealthPro 250
La menace est bien réelle. Le virus grippal A/H1N1, communément appelé grippe A ou grippe porcine s’est propagé dans le monde entier. Chaque jour, de nouveaux cas sont recensés. La grippe A a beau se dérouler dans la plupart des cas comme une grosse grippe saisonnière, la pandémie a déjà fait de nombreux morts dans plusieurs pays.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé le niveau d’alerte maximum et une levée n’est pas en vue. Le risque d’une mutation de la grippe A avec la grippe saisonnière n’est pas encore exclu. Même si la pandémie de grippe porcine suit actuellement son cours sans faire trop de victimes, elle pourrait se dérouler en plusieurs vagues comme la grippe espagnole de 1918-1920. La seconde vague pourrait entraîner, comme jadis, une mortalité beaucoup plus élevée.

Jusqu’à présent, il est recommandé de suivre quelques règles d’hygiène fondamentales comme se laver fréquemment les mains, éviter les rassemblements et les voyages dans les territoires touchés par l’infection ainsi que l’isolement des personnes contaminées. Ces mesures ne sont qu’en partie efficaces et n’offrent qu’une protection limitée. En effet, le virus grippal A/H1N1 se propage par le biais des agents pathogènes en suspension qu’il suffit donc d’inhaler pour tomber malade.

La première des mesures à prendre est donc de traiter l’air que nous respirons. Le filtrage de l’air est actuellement la méthode la plus efficace pour empêcher la propagation du virus. La purification de l’air demande ici des purificateurs professionnels qui répondent spécifiquement aux exigences les plus poussées en matière de santé, des purificateurs qui sont utilisés notamment dans les laboratoires, les cliniques, les hôpitaux, les maisons de retraite, les établissements recevant du public et les transports. Des endroits où se trouvent, selon le cas, des personnes plus exposées à l’infection ou des rassemblements de personnes.

Les purificateurs IQAir ont fait leurs preuves depuis longtemps. Leur efficacité pourra être confirmée en particulier par le ministère de la santé de Hong Kong qui équipa les hôpitaux et cliniques de son territoire de purificateurs IQAir pour protéger le personnel soignant et les patients de la grippe aviaire (SRAS). Outre cet exemple, la société IQAir possède une longue liste de références des entreprises et institutions qui utilisent ses purificateurs modernes pour filtrer les virus et les bactéries mais aussi la poussière, les acariens, les fibres microscopiques et les particules de fumée en suspension.

À la hauteur des exigences d’hygiène et simples d’utilisation, les purificateurs d’air IQAir peuvent être utilisés dans le domaine médical et les locaux publics comme à la maison pour un air sain. Les purificateurs d’air IQAir ont les spécifications suivantes :

* Système de filtration avec filtre HEPA, préfiltre et filtre à odeurs
* Conception ultra-compacte
* 6 niveaux de ventilation pour un débit d’air optimal
* Ventilateur radial doté d’une protection anti-surchauffe pour le fonctionnement en continu
* Carter robuste protégeant le système de filtration
* Panneau de commande à 4 touches, écran à cristaux liquides à deux lignes
* Sortie d’air régulière à 320° (technologie EvenFlow)
* Efficacité totale du système certifiée supérieure à 99,97 % pour les particules ≥ 0,3 µm
* Contrôle qualité en usine pour chaque appareil
* Qualité reconnue par de nombreuses associations de consommateurs
* Certification et homologation CEI/IECEE (méthode OC), CE, SEV, KTL, PCBC, EZU (en fonction de la tension)

IQAir propose dans le secteur de la purification de l’air mobile des appareils révolutionnairement compacts et efficaces et peut se vanter de références de renom et de la satisfaction de milliers de clients. Trotec vous offre différents modèles et se tient à votre disposition pour toute question.