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Les aérosols infectieux dans l’air ambiant sont un facteur de risque jusqu’ici trop négligé.
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Les purificateurs d’air haute performance avec filtres haute performance H14 de Trotec peuvent être utilisés immédiatement et offrent une protection maximale contre les infections.
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La technologie développée en Allemagne est immédiatement disponible et peut être adaptée comme solution pour l’ensemble de l’industrie.
Étiquette : HEPA
Des infections liées au coronavirus dans trois entreprises de transformation de la viande en Autriche. D’où viennent les infections dans les abattoirs ?
Comment les entreprises peuvent-elles se protéger ? Trotec apporte des réponses : une purification d’air haute performance protège des éruptions de coronavirus dans l’industrie de la viande
Purification de l’air au lieu du port de masque obligatoire dans les supermarchés
Les purificateurs d’air Trotec avec filtres haute performance protègent les employés et les clients contre l’inhalation d’aérosols infectieux
Aérosols : petites particules, gros soucis !
Quelle protection les masques et les purificateurs d’air TAC V+ de Trotec offrent-ils contre le coronavirus ?
Des rangées de sièges pleines pour les compagnies aériennes, des caisses vides pour le reste de l’économie.
Le purificateur d’air TAC V+ diminue le risque d’infection au coronavirus dans l’industrie, le commerce et l’économie. Pour un retour à la normalité en toute sécurité.
Étude du CDC sur le risque de contagion sur les cargos et les paquebots : Le coronavirus toujours détectable après 17 jours
Application de traçage des contacts, passeport d’immunité, vaccin… Qu’est-ce qui protège réellement contre le coronavirus ?
Les experts n’ont pas de doute : la nouvelle technique de purification d’air TAC V+ de Heinsberg en Allemagne permet un retour immédiat au quotidien
La bataille contre le coronavirus va se livrer jusqu’au bout sur plusieurs fronts. Après une longue période pendant laquelle le port du masque et les règles de distanciation ont constitué la base de toute chose pour se protéger contre une contamination par le coronavirus, le vent a tourné ces dernières semaines. Selon l’état actuel des connaissances, le virus est transmis principalement par l’air. Tous les espoirs se concentrent donc désormais sur le développement le plus rapide possible d’un vaccin approprié. Mais alors que la recherche d’un tel vaccin tourne à plein régime, de premières études alimentent déjà les doutes quant à son efficacité.
Une étude révèle que les passeports d’immunité et les vaccins n’offrent pas de protection à long terme
Une étude publiée sur Medrxiv (serveur de documents pour publications scientifiques spécialisées) par des scientifiques chinois et américains met en doute le fait qu’une infection à la Covid-19 entraîne une immunité durable. En effet, les personnes infectées ne développent pas toutes des anticorps. Certains participants n’avaient pas d’anticorps pour le virus SRAS-CoV-2 dans le sang alors qu’une grande partie des personnes ayant pris part à l’étude avaient été infectées par le virus. Les scientifiques en ont conclu que les patients qui ne présentaient plus d’anticorps 21 jours après la survenue des symptômes avaient « très probablement perdu les anticorps IgG lorsque l’infection a été surmontée ».
Une première contamination ne protège pas contre une nouvelle infection
Cette découverte rendrait inutile le passeport d’immunité proposé par certains ministères européens et même un vaccin ne garantirait pas une immunité à long terme. Même l’immunité collective souvent évoquée par les épidémiologistes ne serait plus valable dans la mesure où la présence attestée à un moment donné d’anticorps ne protégerait pas pour autant contre une nouvelle infection.
Application de traçage des contacts : une notification a posteriori ne protège pas contre une contamination
Une application de traçage des contacts déjà mise en place dans plusieurs pays transforme le smartphone en système d’alarme. Toutefois, l’application ne protège pas contre une contamination par le coronavirus. Elle se contente d’informer l’utilisateur « après coup » si celui-ci s’est trouvé en contact avec une personne officiellement infectée, à la condition que cette dernière utilise également l’application.
Aussi diverses soient les approches pour enrayer la pandémie de COVID-19, une véritable protection contre une contamination n’est actuellement possible qu’en se tenant littéralement à distance du virus (distanciation sociale) et en évitant les espaces publics regroupant de nombreuses personnes. Ou bien en éliminant franchement le virus de manière à l’empêcher de pénétrer dans l’organisme par les voies respiratoires. Car tous les scientifiques et virologues s’accordent désormais sur ce point : le danger réside dans l’air.
L’air est la source de 80 pour cent des infections au coronavirus
Alors que l’on pensait encore au début de la pandémie de COVID-19 que le virus se transmettait principalement par les gouttelettes de salive et par le contact, on sait désormais que l’air que l’on respire constitue la principale voie de transmission du virus. Dans une interview avec le quotidien allemand Rheinische Post, Dr Thomas Voshaar (conseiller médical du ministre allemand de la santé Jens Spahn) affirme clairement qu’environ 80 pour cent des contaminations par le coronavirus s’effectuent via l’air ambiant.
Et plus particulièrement via ce que l’on appelle des aérosols, un mélange de gaz (en règle générale de l’air) et de composants solides ou liquides qui, chez les personnes malades, contiennent des virus. Ces minuscules particules en suspension sont libérées dans la pièce en grande partie lorsque l’on respire et que l’on parle. Tandis que les grosses gouttelettes, plus lourdes, retombent déjà au sol au bout d’1,5 mètre environ (d’où la règle de distanciation d’1,5 m), la petite taille des particules d’aérosol (env. 0,3-0,4 µm) leur permet de rester en suspension jusqu’à plusieurs heures dans l’air ambiant. Ce qui complique encore le tout, c’est que les personnes infectées génèrent encore plus d’aérosols dans leurs poumons et les diffusent en respirant.
Les particules d’aérosol constituent le premier risque d’infection
Le facteur déterminant du risque de contamination par le coronavirus est la durée pendant laquelle les aérosols contaminés par le virus restent en suspension dans l’air ambiant. En effet, contrairement à l’air extérieur, où les mélanges d’aérosols sont dilués et éparpillés par le mouvement de l’air frais et propre, la concentration en aérosols dans les pièces fermées reste continuellement élevée. Plus les particules d’aérosol restent en suspension dans l’air longtemps et en grande quantité, plus elles pénètrent rapidement dans l’organisme par les voies respiratoires et plus elles provoquent rapidement une infection pulmonaire. Dans un seul centimètre cube d’air, environ 50 000 particules comme des particules de poussière et de pollen mais aussi des bactéries et des virus sont en suspension. Et avec chaque personne supplémentaire dans la pièce, la concentration en aérosols augmente de milliers de particules par minute.
Les purificateurs d’air éliminent les particules infectieuses en suspension dans l’air ambiant
Il n’existe actuellement que deux moyens efficaces de se débarrasser des particules d’aérosols infectieuses en suspension dans l’air ambiant. Le premier consiste à assurer une aération permanente avec fenêtres et portes ouvertes. Toutefois, il s’agit ici d’une approche plutôt théorique dans la mesure où des facteurs tels que le bruit de la circulation ou les températures saisonnières rendent une ouverture permanente des fenêtres impossible. Le second consiste à utiliser un purificateur d’air adapté, comme le purificateur d’air à haute fréquence TAC V+ de Trotec, grâce auquel les mélanges d’aérosols présents dans l’air ambiant sont immédiatement dilués puis filtrés par un filtre à virus HEPA spécial et inactivés. Cette technique de filtration de l’air ambiant HEPA est déjà utilisée depuis longtemps dans les hôpitaux, par exemple pour maintenir les salles d’opération exemptes de germes.
Le purificateur d’air mobile TAC V+ génère une qualité de l’air similaire à celle d’une salle d’opération
Avec le purificateur d’air TAC V+, Trotec a développé le premier purificateur d’air haute fréquence au monde avec technique de filtrage HEPA, qui rend accessible le haut niveau de protection médical de la classe de filtre 14 également aux utilisateurs privés et aux entreprises. De simples systèmes de climatisation n’apportent selon M. Voshaar aucune protection car ils sont généralement équipés de simples filtres antipoussières. Seuls des filtres spéciaux HEPA permettent de purifier efficacement l’air ambiant d’une pièce fermée en éliminant les aérosols de l’intérieur de la pièce.
« De premières études sont en cours. Et les filtres spéciaux semblent pouvoir filtrer les aérosols des pièces. Les premières études dans des hôpitaux révèleront bientôt si l’air présent dans une pièce où se trouve une personne infectée peut être tenu propre et sans aérosols à l’aide de ces filtres. Et cela pourrait ensuite également servir aux pièces de bureau afin que davantage de personnes puissent de nouveau y travailler en toute sécurité », déclare M. Voshaar lors de son interview. Et ce qui protège le personnel hospitalier et les employés dans les entreprises favorisera aussi un retour à la normale plus sûr dans tous les autres domaines de la vie publique.
Le concept de purification de l’air du purificateur d’air TAC V+ approuvé par de premiers essais cliniques repose sur deux piliers :
- D’une part, la concentration en aérosols dans l’air ambiant est continuellement diluée de manière efficace avec de l’air pur HEPA filtré de tout virus. Pour cela, le purificateur d’air dispose d’un débit d’air pur encore jamais atteint sur des appareils mobiles et permettant un taux de renouvellement de l’air de jusqu’à 20 fois par heure.
- D’autre part, les virus et les bactéries en suspension dans l’air sont d’abord séparés dans un nouveau type de filtre à matières en suspension HEPA résistant à la chaleur, puis éliminés de façon cyclique par décontamination thermique. Ce filtre spécial exclusivement développé par Trotec de la classe de protection 14 se distingue par son taux de séparation de 99,995 % pour des particules d’une taille de 0,1 à 0,2 µm. Grâce à ces propriétés, les filtres H14 haute performance sont même utilisés pour la production d’air pur dans les salles d’opération, ainsi que dans d’autres lieux similaires où l’hygiène est primordiale.
Pour le dire plus simplement, le purificateur d’air recrée les conditions de l’air extérieur à l’intérieur de pièces fermées et complète celles-ci par une filtration et une inactivation des virus hautement efficaces.
Ce qui semble très technique en théorie s’avère d’une grande simplicité dans la pratique. L’aspiration sans courant d’air de l’air ambiant contaminé s’effectue au niveau du sol et l’air pur exempt de virus est soufflé dans la pièce verticalement et vers le haut. La conception mobile permet de créer des zones d’air pur sans aérosols dangereux même pour de grandes surfaces en utilisant plusieurs purificateurs d’air TAC V+.
Le purificateur d’air mobile TAC V+ est disponible en plusieurs couleurs et variantes d’équipement dans la boutique Trotec, ainsi que dans chacune des succursales Trotec présentes dans toute l’Europe.
Pour les écoles, les institutions publiques et les hôpitaux, des conditions spéciales sont en vigueur lors de l’achat ou de la location de l’appareil. N’hésitez pas à nous contacter personnellement :
Trotec GmbH, Herr Jochem Weingartz
+49 2452 962-137, jochem.weingartz@trotec.com
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