Les prix élevés de l’énergie sont un problème pour le secteur belge de la restauration. Plus encore que la crise de la Corona, c’est la hausse dramatique des coûts du gaz et de l’électricité qui affecte le secteur horeca. L’évolution des coûts menace l’existence du secteur et « les inquiétudes et les difficultés existentielles augmentent dans le secteur », affirment les experts du secteur. Le prochain hiver pandémique est imminent et l’explosion des coûts de l’énergie provoque des angoisses existentielles. Pour compliquer les choses, les virologues prévoient une nouvelle augmentation du nombre d’infections à coronavirus pour l’automne et l’hiver.
Ce guide vous explique comment concilier les exigences élevées en matière de protection contre les infections dans le secteur de la restauration et les efforts visant à économiser les coûts énergétiques.
La Fédération des services publics (FSP) recommande de « veiller à une bonne aération des zones » où les plats sont préparés et servis. Il s’agit ainsi d’éviter que des aérosols porteurs de virus ne se propagent dans l’air ambiant de la zone d’accueil et ne provoquent des infections à coronavirus. Mais ce qui sert à la protection contre les infections donne des rides d’inquiétude à de nombreux restaurateurs : les locaux régulièrement aérés se refroidissent très vite, les clients se sentent mal à l’aise – ou préfèrent rester directement chez eux. Compte tenu de l’explosion des coûts énergétiques, l’aération sera un défi cet hiver. Les salles de restaurant refroidies par l’aération doivent être chauffées à nouveau, ce qui est d’autant plus coûteux. Ce qui fait encore grimper les coûts énergétiques déjà très élevés.
Directives pour les entrepreneurs du secteur de la restauration
- L’utilisation d’un appareil de mesure de la qualité de l’air (CO2) est obligatoire dans les locaux accessibles au public des établissements de restauration. Cet appareil doit être placé de manière visible pour les visiteurs, à moins qu’un autre système d’affichage accessible au public en temps réel ne soit fourni. Chaque zone séparée où de la nourriture et des boissons sont préparées et servies, où l’on fume, où l’on danse, où l’on fait du sport, où se déroule un événement, où il y a des files d’attente, ainsi que les vestiaires doivent être équipés d’au moins un appareil de mesure. L’appareil de mesure doit être installé à un endroit central et non à côté d’une porte, d’une fenêtre ou d’une autre ouverture qui est ouverte régulièrement ou pendant une période prolongée, ou à proximité de l’arrivée d’air d’un système de ventilation.
- La valeur de référence pour la qualité de l’air à l’intérieur est de 900 ppm de CO2 ou un débit d’au moins 40 m3 de ventilation par personne ou d’au moins 40 m3 de purification d’air par heure et par personne.
- Au-delà de 900 ppm, le préparateur doit présenter un plan d’action basé sur une analyse des risques afin de garantir des mesures de ventilation et/ou de désinfection et/ou de filtration de l’air. Ces mesures doivent garantir une qualité de l’air conforme à la norme de qualité de l’air cible de 900 ppm.
- Si la valeur de 1.500 ppm est dépassée ou si le débit est inférieur à 18 m3 par heure et par personne, il est recommandé que l’exploitant mette également en place un système de purification d’air agréé garantissant une qualité d’air conforme à la norme de qualité d’air de 900 ppm.
Source : Guide du SPF Horeca du 18/02/2022
Aérer comme avant la pandémie, c’est possible – avec des purificateurs d’air modernes
Il est indéniable qu’une bonne ventilation permet d’éliminer de l’air ambiant l’excédent de CO2 qui est produit et rejeté avec la respiration. Une concentration élevée de CO2 dans l’air peut nuire au bien-être et entraîner des maux de tête et de la fatigue. La concentration de CO2 est en outre considérée comme un bon indicateur de la présence d’aérosols infectieux dans l’air ambiant. C’est pourquoi l’aération régulière est une mesure appropriée pour garantir une bonne qualité de l’air, et pas seulement depuis Corona. Toutefois, l’aération n’est pas une alternative à la protection contre les infections. En utilisant un purificateur d’air Trotec moderne pour purifier l’air, on obtient plus rapidement la qualité d’air requise, on aère moins et on économise ainsi des frais d’énergie considérables.
Les purificateurs d’air modernes de Trotec atténuent nettement les effets du piège des frais de chauffage tout en protégeant contre les infections.
En automne et en hiver, les purificateurs d’air mobiles de Trotec, qui filtrent les virus, constituent une alternative éprouvée et économe en énergie à l’aération par les fenêtres, très gourmande en énergie, dans le secteur de la restauration. Contrairement à leur réputation, les purificateurs d’air mobiles à haut rendement ne sont pas énergivores. Des calculs comparatifs montrent même que les purificateurs d’air mobiles de Trotec sont de véritables économiseurs d’énergie. Par rapport à une imprimante laser couleur courante, la consommation d’énergie du purificateur d’air haute performance TAC V+ peut être qualifiée de modérée.
L’utilisation de purificateurs d’air permet de réduire considérablement les intervalles et les temps de ventilation.
L’utilisation de purificateurs d’air mobiles refroidit moins les espaces intérieurs, car les temps d’aération sont sensiblement réduits et les intervalles d’aération nettement prolongés. En d’autres termes, il est à nouveau possible d’aérer comme on le faisait avant l’ère Corona. Cela permet d’atténuer la forte augmentation des coûts de chauffage qui résulte inévitablement d’une aération sans purification de l’air.
Réduction des coûts énergétiques grâce à une ventilation contrôlée
Les purificateurs d’air mobiles ne peuvent rien changer à l’explosion des prix du gaz, du pétrole et de l’électricité, mais ils peuvent changer la consommation d’énergie de chauffage. Une purification constante de l’air, jusqu’à 6 fois par heure, garantit une qualité d’air élevée. Les purificateurs d’air Trotec des séries TAC et AirgoClean offrent ainsi une protection très efficace contre les virus et les poussières fines. Les virus SARS-COV-2 sont séparés de l’air ambiant à plus de 99 % et, selon le modèle, sont en outre décontaminés par un filtre HEPA-14 autonettoyant. Un purificateur d’air haute performance TAC V+ a besoin de 15 minutes maximum pour réduire de moitié la charge virale dans une pièce de 80 m², et même de 3 minutes seulement dans les petites pièces. L’aération peut ainsi être réduite au minimum nécessaire et se faire sans refroidir les pièces.
Les purificateurs d’air mobiles Trotec fournissent une solution nettement plus efficace pour éviter les infections Corona en automne et en hiver, tout en réduisant les coûts énergétiques. Les coûts d’exploitation des purificateurs d’air sont ainsi amortis en très peu de temps par les économies de chauffage réalisées.
Purificateurs d’air Trotec – un air exempt de virus dans les salles de restaurant
Cinq modèles en deux variantes d’appareils – chacun avec une efficacité de filtration prouvée pour la protection contre les agents pathogènes et les substances nocives en suspension dans l’air font de la série TAC une solution de purification de l’air flexible et évolutive pour les espaces intérieurs de tous types.
Les purificateurs d’air confort de la série AirgoClean, disponibles au choix sous forme d’appareils mobiles sur pied ou d’appareils muraux modernes, sont aussi performants que variés dans leur équipement.
Nos experts en purification de l’air se feront un plaisir de vous conseiller personnellement sur les solutions de protection contre les infections de Trotec :
Téléphone : +49 2452 962-730, vertrieb@trotec.de